Toussaint Saurin : Bancocratie

Prix
24,00 €

Présentation tiré du site de "filpac-cgt.fr"</p>

Retirer la licence bancaire aux banques coupables de crimes, poursuivre en justice leurs dirigeants et grands actionnaires<br>

Comment ne pas reprendre, comme l’auteur, pour donner le ton ou la couleur de l’ouvrage, cette citation de Bertold Brecht, tirée de L’opéra de quat’sous :<br>

« Qui est le plus grand criminel : celui qui vole une banque ou celui qui en fonde une ? »</p>

Eric Toussaint indique en avertissement :<br>

« En écrivant ce livre, je souhaitais donner à des femmes et des hommes qui ne font pas partie des hautes sphères de la banque et des institutions politiques des moyens pour comprendre ce qui se passe dans le monde opaque de la banque privée, des banques centrales, de la Commission européenne, des lieux où se prennent des décisions fondamentales qui affectent les conditions d’existence de l’immense majorité de la population mondiale."</p>

Le livre se déroule de la manière suivante :</br>

l’évolution du système capitaliste, et en son sein celle du secteur bancaire, depuis les années 1970-1980, fait l’objet des chapitres 1 à 3 ;</br>

l’évolution du secteur bancaire aux États-Unis et en Europe au cours des vingt dernières années qui a mené à l’effondrement bancaire de 2008 est analysée aux chapitres 4 à 7 ;</br>

la parodie de réglementation bancaire est décrite aux chapitres 8 à 10 ;</br>

la situation des banques en 2011-2014 fait l’objet des chapitres 11 à 17 ;</br>

les manipulations et les délits commis par les banques sont présentés aux chapitres 18 à 29 ; l’action des gouvernements, des banques centrales, du FMI et son incidence dans la lutte de classes sont étudiées aux chapitres 30 à 38 ;</br>

l’évolution des banques au cours des deux derniers siècles est observée dans le chapitre 39. Le chapitre 40 présente un ensemble cohérent d’alternatives et de propositions.</br>

édition : mai 2014