Une réflexion brutale et sans concession, qui rappelle l'importance de la révolte féministe. La sociologue Christine Delphy, qui signe la préface, redonne à Andrea Dworkin la place qui lui revient dans l'histoire du féminisme, et le politologue Frédérick Gagnon rappelle dans sa postface la pertinence des analyses d'Andrea Dworkin pour comprendre le sort des femmes dans la vie politique des Etats-Unis des années 2000, toujours marquée par la misogynie et l'antiféminisme.
édition : novembre 2012"/>